Réactions internationales à la victoire de Donald Trump : des félicitations nuancées et des attentes diverses
L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pour un second mandat a suscité des réactions contrastées à travers le monde. Plusieurs dirigeants européens, comme Ursula von der Leyen et Charles Michel, ont rapidement adressé leurs félicitations au nouveau président, tout en insistant sur la nécessité de préserver et renforcer le partenariat transatlantique. Selon la Première ministre danoise, Mette Frederiksen, cette élection met également en lumière le besoin d’une “Europe plus autonome” pour faire face aux enjeux globaux aux côtés des États-Unis.
OTAN et Russie : perspectives de coopération et attentes prudentes
Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, a exprimé sa volonté de collaborer avec Trump pour “maintenir l’Alliance forte”, tandis que le Kremlin, sous la direction de Vladimir Poutine, a adopté une attitude plus réservée. Selon des sources proches du Kremlin, la Russie observera de près les actions de la nouvelle administration avant d’engager des félicitations officielles, montrant ainsi une certaine prudence vis-à-vis de ce retour au pouvoir.
Réactions en Asie : soutien à l’Ukraine et attentes en matière de relations bilatérales
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a salué ce qu’il a qualifié de “victoire impressionnante” et a déclaré espérer un soutien accru des États-Unis dans la quête d’une “paix juste” pour son pays. En Israël, le Premier ministre Benyamin Nétanyahou a célébré ce retour comme un “grand moment historique”, soulignant la solidité des relations entre les deux nations. En Asie, le gouvernement japonais a également réagi positivement à l’élection de Trump, exprimant par la voix du Premier ministre Shigeru Ishiba son désir de renforcer les relations bilatérales sous cette nouvelle présidence.
Les réactions internationales face à cette élection révèlent des attentes variées et nuancées, marquées par des espoirs de renforcement des alliances, mais aussi par des positions plus réservées en fonction des enjeux géopolitiques de chaque région.