LES TROIS FRÈRES ENNEMIS. ON, TWO, THREE
Les trois frères ennemis. En 5 lettres et en un chiffre DZ, KAÏS, M6. Ils finiront peut-être un jour par s’accorder sur la définition de la justice et rendre a la vérité le plus fier des services.
En premier l’inimitié ne concerne pas les 3 mais les 2 sur 3, elle ne porte que sur l’un des 3. M6 le roi qui n’applique que sa propre loi et n’entend pas les voix discordantes qui s’élèvent pour le prier tendre les bras aux enfants de Gaza. En deuxième DZ sont les deux lettres que j’ai choisies pour désigner celui reste convaincu que l’Algérie et la Palestine sont 2 causes qui n’en font qu’une.
Il est plus royaliste que le roi et il reproche à son frère ennemi non pas d’être son ennemi, mais d’avoir cessé d’être son frère. D’avoir cédé ou concédé à l’ennemi tous les signes ostentatoires de la fratrie. Il rapelle, tiens, l’histoire des trois tauraux, vous savez le blanc, le gris, et le noir qui n’ont aucun interêt à renoncer à l’un des leurs, sinon ils meurent tous les 3.
Car il n’y a pas que la matière il y a aussi et surtout la manière de s’elever dans les airs au lieu de sonbrer dans son désert. Et en troisième il y a KAÏS, Kaïs c’est Saïed pour ne pas le nommer. Si je traduis son prénom Kaïs je trouve le sens de la mesure. Mais si je tends l’oreille à ses détracteurs j’entend parler de démesure et la vérité oscille entre les deux extrêmes.
Et notre homme est au milieu qui murmure à son peuple qu’il n’y a que la démesure pour venir à bout de la démesure…
