Vague de pillages à Bellevue : la sécurité des habitants en question

La nuit du vendredi 15 au samedi 16 mars 2024 restera gravée dans la mémoire des habitants du quartier de Bellevue, alors qu’une série de pillages a secoué la région dans des circonstances alarmantes. Plus de cinquante maisons ont été prises pour cible par des assaillants, parmi lesquelles figuraient celles de figures publiques telles que la mère du ministre de l’Éducation, Nesmy Manigat, et l’acteur bien-aimé Jessifra.

Cette vague de criminalité sans précédent a plongé les habitants de Bellevue dans l’effroi. Des témoins oculaires ont rapporté que le quartier avait été déserté dès le mercredi soir précédant les événements, suite à des menaces préalables proférées par des groupes criminels annonçant leur intention de frapper la zone.

Interrogé par notre rédaction, le ministre Nesmy Manigat a confirmé que la maison de sa mère était effectivement parmi les propriétés touchées par les pillages. Cependant, il a précisé qu’il n’avait jamais résidé à Bellevue, suggérant ainsi qu’il n’était pas directement affecté par ces actes de délinquance. Malgré cette distinction, des questions subsistent quant à la sécurité des habitants du quartier et à la prévention de tels incidents à l’avenir.

Parmi les victimes de ces actes criminels, Jessifra, le célèbre comédien, a également vu sa résidence pillée. L’impact de ces événements sur la communauté locale et sur les personnalités touchées est indéniable, mettant en lumière l’urgence de mesures de sécurité renforcées et de stratégies de lutte contre la criminalité dans la région.